Il était une fois

Bonjour !
Je vous propose ici d'écrire une histoire. Je m'explique.
En fait, je vais commencer par amorcer l'histoire, et ensuite chacun à votre tour vous pourrez continuer, jusqu'à ce qu'on en ai marre et à la fin, on résumera toute l'histoire ( qui risque d'être super pertinente, entre parenthèses ) et ce sera trop cool parce que voilà les histoires c'est rigolo.
Voilà.
Je pense que vous avez compris, en tant que premières S, l'élite de l'élite.

Donc, youpla, c'est parti :

" Il était une fois ( tout bon conte commence par cela ), un arbre. Un bel arbre d'une centaine d'années, et pourtant en pleine force de l'âge. Un arbre au tronc ridé par le temps et aux branches aussi fourchues que le plus fourchu des cheveux, branches enlacées et emmelées trouant les nuages les plus hauts. C'est l'automne. Les feuilles enflammées du centenaire s'envolent au gré du vent, laissant là leur arbre, seul.
C'est comme ça que se passaient tous les automnes, et toujours l'arbre se retrouvait désespérement seul. Mais, un beau jour, cette année, une feuille décida d'emmener son arbre avec elle.

Ou plutôt, l'arbre décida de partir avec la feuille. Il faut le comprendre, chaque année, il enviait ses petites feuilles rousses en les voyant partir au gré du vent, et restant sollitaire. Il avait décidé, après de longues années de reflexion, que pour son anniversaire il s'en irait. Vous allez me dire, c'est étonnant, un arbre qui s'en va, car c'est plutôt sédentaire, un arbre. Pourtant, il faut croire que celui ce en avait décidé autrement.
Il sorti donc ses racines de la terre, secoua ses branches, et tenta de se mouvoir. Il eut un peu de mal au début, mais rapidement, toute sa masse commenca à aller de l'avant, portée par ses longues racines.

les début furent difficile mais petit a petit ils se senti redevenue la jeune et vigourese pousse verte issu du glan , qui venait juste de faire une chute de plus de 50m ,abandonné par sa maman chène ....
Mais loin d'etre nostlagique il se mit a courir encore et encore dans la vaste contrée qu'était ce royaume , ne cessant d'admirer les nouveauté de ce monde !

( plus d'idée aussi g un epu peur que sa deviennent star wars ou les simpsons alors j'arrete la avant que sa deviennent le prochain résident évil ^^)

(bon, à moi, la tentation est trop grande)

L'arbre courrait, encore et encore, toujours plus vite et toujours plus loin, si bien qu'il finit par perdre sa petite feuille, celle qui lui avait donné le courage de déterrer une à une ses lourdes racines. Il s'arrêta. Puis piétina sur place. Le pauvre centenaire avait si peur de reprendre racine qu'il ne cessait de s'agiter. Il scruta le paysage, tenta d'appeler mais il n'avait pas de voix, il n'avait pas de bouche, il n'était que du bois, un amas de bois informe, à nouveau seul.

Cette solitude plus oppressante encore qu'auparavant le poussa à revenir sur ses pas chercher l'âme soeur perdue.
Car l'arbre avait maintenant goûté au bonheur, ce bonheur de vivre avec une personne qui vous aime et que vous aussi vous aimez, admirez, et dont vous approuvez toutes les décisons, aveuglé par l'amour.
Passe encore qu'il fut seul pendant toute sa vie, convaincu de son triste destin; mais qu'il y retourne, à cette vie qui ne lui avait que fait lorgner le bonheur sans pouvoir y accéder: il n'en était pas question.
Il était résolu à se maintenir en cet état qui lui avait procurer tant de bohneur; exalté à cette idée il se mis en chemin...

... pour la retrouver. Elle. Juste elle, celle qui pendant cent ans, il avait attendu.
Alors notre bel arbre rechercha, pendant des marches sans le moindre arrêt, et demanda aux vents, au soleil, s'il n'avaient pas vu sa belle. Les autres arbres le regardaient bizarement, "un arbre qui marche ?", mais quand ils virent que c'était un chène comme eux, de la même race et de la même couleur, il ne purent s'empêcher de penser à marcher eux aussi. C'est alors que progressivement, toute la forêt tira racine par racine de la terre, mit en mouvement leurs muscles ridés. Elle promit alors au vieux chène, pour le remercier de cette idée flamboyante, de l'aider à retrouver sa petite feuille rousse. Ainsi commenca le marche de cette immense forêt...

La terre tremblait sous ce flot de bois, les arbres s'extasiaient devant ce qui s'offraient à eux, eux qui pendant des années et plus encore, voyaient toujours les mêmes arbres voisins, les mêmes pierres, les mêmes talus de terre... Et avec des précautions infinies, ces géants soulevaient chaque feuille morte gisant à leurs pieds pour s'assurer que la petite feuille perdue n'avait pas elle aussi quitté la vie pour rejoindre ce tapis végétal. Mais les recherches ne donnaient rien. Notre arbre, désemparé, se prit le tronc entre les branches et réfléchit à l'endroit où sa belle pouvait se cacher...

Sa solitude lui pesait et rien que le fait de penser à cette petite feuille rousse le plongeait dans un profond desespoir. Pourtant il n'était pas seul puisque désormais des dizaines, des centaines d'abres l'avait suivi! Et pourtant il se sentait terriblement seul. Alors pris d'une envie de solitude il s'exclue de la marche des arbres pour reflechir, seul. Tellement seul qu'il était prêt à retrouver sa vie de sédentaire, immobile. Jusqu'à ce que...

Il réflechit longtemps , très longtemps . Il tenta de se remémorer chaque secondes de sa courses folle a travers l'immense foret qui était a présent un flot mouvementer d'arbres et arbuste . C'était l'autonne et chaque arbres qui gesticullé perdait encore plus de feuille que d'habitude et plus le temps passait plus le sol était remplie de feuilles diverses et variées de formes et de couleurs multiples.
Elles se ressemblaient toutes de loins et il fallait observer attentivement chacune d'elle pour en reconnetre l'espece !

S'il avait pu, notre arbre aurait sûrement pleuré à cette instant précis. Un petit vent frais vint caresser son écorce, et amena au creux de ses branches une feuille d'un rouge vif. La feuille se blottit contre l'arbre en attendant que le vent se calme. Puis elle sauta et atterit avec délicatesse devant le centenaire, toute droite sur sa tige brune.
"Ta roussette est aussi perdue que toi maintenant que vous vous êtes égarés !"
L'arbre se redressa. Cette petite chose avait croisé sa feuille !

Comment donc ? lui dit il.
Tu as rencontré cet être qui m'est cher, lui as tu seulement parlé, partage t elle mon désaroi, où pourrais je la retrouver, rassures moi et dis moi qu'elle veut bien encore de moi ?
La feuille, sous cette foule de questions dut répondre à toutes les inquiétudes du chêne qui n'avait plus qu'une idée en tête, prendre connaissance de tout ce qui avait pu se passer en son absence.
Arrivé à la question de savoir si sa petite feuille avait recontré un autre arbre la feuille commenca à se facher et l'arbre dut écouter ce qu'elle avait à dire.
Je puis te conduire jusqu'à elle si tu le désires mais saches qu'il te faudra plus de courage que tu ne peux l'imaginer pour que vous puissiez être réunis à nouveau.
Sur ce, et alors que la feuille lui donnait les indications nécessaires pour le mener à son but, notre arbre marchait en se sentant envahi par des envies romanesques et empli de courage en se rappelant les péripéties chevaleresques que lui contait sa maman chêne alors qu'il n'était encore qu'un futur gland, berser par son imagination...

Mais, il se demandait toujours, et s'en voulait un peu pour cela, si sa petite feuille chérie n'avait pas rencontré un autre... Et, si cette informatrice ne lui disait pas la vérité ? Et si c'était une feuille mythomane ?
Il parvint à chasser ses mauvaises idées de son tronc, et commenca cette nouvelle aventure, avec toute sa mélancolie, à chaque que ses pensées s'agaraient à penser à elle...
Son informatrice lui annonca qu'il fallait d'abord qu'il réflechisse à l'endroit le plus probable où pouvait être cette jolie feuille. L'arbre se demanda si cette roussette ne le menait pas en bateau, pourtant...

(t'es un peu fatiguée là, non ? Bon repose toi je reprends les choses en main )

... quel ne fut pas son étonnement à ces mots lancés à son adresse avec un petit air moqueur. Comment ce pouvait il qu'elle fusse capable de l'identifier et de le rassurer sur ses préocuptions quand cette magnifique petite feuille rouge lui demandait également des renseignements sur ce lieux bénît des Satyres et des esprits de la forêt qui aceuillait sa douce, douce dont elle venait lui conter les malheurs. Cette pensée occupait son esprit et le torturait depuis plusieurs heures de ce qui aurrait était une pénible marche s'il y avait porté quelque intérêt en des moments moins emprunt au tourment quand il s'appreta à sortir de sa frustration.
Omnibuler il finit par lui demander des comptes en ces quelques mots qui allait changer du tout au tout cette quête qu'ils poursuivaient maintenant tous deux dans une ambiance devenue suspicieuse.

Il s'appretait à prendre la parole lorsqu'une odeur particuliere s'infiltra par ses racines. Cette odeur lui rappelait le jour où ses parents avaient trouvé la mort lors de l'incendie de la forêt familliale. Il se retourna et quel ne fut pas sa surprise lorsqu'il se rendit compte qu'un feu s'etait déclaré à l'endroit même où ils se trouvaient, lui et la petite feuille, un instant auparavant. L'incendie d'une couleur maléfique semblait avoir juré leur perte et tentait de leur barrer la route...

L'arbre paniqua. La petite feuille rouge grimpa sur sa plus haute branche et constata avec effroi l'étendu du feu. Avec ses grandes racines emmelées, notre arbre ne courrait pas bien vite. Sans réfléchir il concentra toute son énergie dans ses racines et fuya. Tous les arbres de la forêt suivirent bientôt le mouvement, le feu gommait la forêt au fil des secondes, les arbres démarraient un à un le plus rapidement possible, se retournaient, et voyaient avec horreur les flammes jaunes danser tout près, toujours plus près d'eux. Du nuage de fumée noire tomba un petit morceau de feuille roux, qui vint se déposer sur l'arbre. Ce dernier s'arrêta tout net dans sa course et fixa le petit bout de feuille qui glissait le long de son écorce... Il appartenait à sa belle.

Au comble du desespoir, l'arbre se demandait si sa malheureuse petite feuille avait survécu au brasier qui prenait de plus en plus d'ampleur, detruisant sur son passage toute forme de vie.
Bientôt, plus aucun de ces compagnons ne le suivaient, et même si quelques uns avaient echappé aux flammes, la plupart n'avait pas eu cette chance et avait succombé au demoniaque incendie.
L'arbre était maintenant encerclé par les flammes, il n'y avait plus aucun espoir pour qu'il s'en sorte, il decida de s'asseoir et d'attendre que le brasier vienne l'enlever à ce monde qu'il était sur le point de connaitre.

(Ah bravo ! maintenant c'est soit un miracle qui va se produire soit un drame qui vient d'avoir lieu !)

Dans sa précipitation il n'eut guère le temps de penser à ces idées folles qu’il y a encore peu s'étaient précipitées "dans sa tête" en un torrent de craintes mêlées d'incertitudes.
Il était encore affligé par la vue de ce vestige provenant du sinistre nuage quand il aperçue une brèche dans le mur de flammes et s'y enggoufra avant que ce brasier ardant ne se referme sur lui.
Il reprit donc seul sa course pour la survie s'arrêtant par moment pour contempler l'incendie meurtrier et l’émanation morbide qui s'en dégageait et poursuivant son chemin tour à tour en proie à la fatalité qui à son image ne cessait de le poursuivre en une succession d’événements tragiques.

Il était résolu à ne plus se retourner lorsqu’il se rendit compte qu’il ne faisait pas route à part…
Le regard de la petite feuille venait de rencontrer celui de l’arbre dont la face était désormais assombrie par le nuage de fumée noire à moins que ce ne fusse par sa rage contenue.

la j'ai un petit beug ^^ je comprend pas trop: C'est laquelle de feuille ?? Celle qu'on cherche ou l'autre ??

alors la bravo car je n'ai pas non plus suivit ^^

(la petite feuille rouge est dans une mauvaise passe avec l'arbre tandis que la petite feuille rousse est estropiée et errante quelque part dans la forêt, à moins que l'un de vous ne veuille transformer çà en tragédie ^^ !!!)

Faut dire qu'entre une feuille rousse et une autre rouge la confusion est proche ! Quel idée aussi de choisir une telle ressemblance si ce n'est pour que ce soit lui qui la trompe (la feuille rousse !) !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

(Tiens c'est peut être une piste exploitable ! )

( En même temps, en automne, y'a pas beaucoup de feuilles bleues. Alors hein )

L'arbre ne freina pas, il prit la petite ROUGE au creux de ses branches et continua à braver les flammes. Il ne pensait plus, plus rien n'existait autour de lui, même la chaleur ne l'incommodait plus. Il marcha ainsi pendant un moment que lui même ne pouvait pas évaluer, puis ralentit, progressivement, regarda autour de lui, et s'arrêta enfin. Il était sorti sain et sauf de l'immense brasier. La feuille rouge, brunie par l'incendie, glissa le long de son écorce et tomba doucement sur le sol, dans un gracieux mouvement de balancier. L'arbre se pencha sur son amie. La feuille ne semblait plus donner signe de vie. L'arbre donna un léger coup de racine à la feuille pour la réveiller... Mais elle restait là, inerte, aussi silencieuse que la mort elle-même.

(Ben alors elle vous inspire plus mon histoire ?)

(Non, moi je suis plus du tout inspiré par cette histoire de vegetaux^^)

sinon pour ceux qui était en s une histoire de haricot sa vous dit ?
sinon y'a un truc qui s'appel les cochons ( ou des chèvres )
c assez répendu ! on invente n'importe quoi et les personnages c'est soir des cochon ( ou des chèvres si o début on choisie des chèvres )

j'ai rien compris !
^^